25 ans après, « Papa » me cherchait toujours

Brigitte Maroselli

 « Si tu existes encore  fais quelque chose pour moi, je ne peux plus vivre ainsi » !

 25 ans loin de la maison du Père … mais revenons en arrière pour mieux comprendre comment la daddy daughterpuissance de l’amour de Dieu m’a ramenée au bercail :

J’ai reçu une éducation catholique, mon père pratiquant avec ferveur et sincérité sa religion telle qu’il la connaissait.

J’ai fait ma communion à 11 ans, et ce qui me reste de mon éducation religieuse, c’est le chemin de croix que nous faisions une fois par an au moment de Pâques. Il m’a profondément marqué par la douleur que reflétait le visage de cet homme qui allait à la mort, portant sa croix sur le dos. Je ne comprenais pas du tout le sens de cette mort.

Mon père n’était pas satisfait de la pratique de sa religion qui ne comblait pas le vide de son cœur, et il commença à chercher dans toutes les directions,  y compris le spiritisme. J’assistais à des essais de guérison de nos petits maux d’enfants à l’aide de « passes magnétiques » que mon père pratiquait. Continuer la lecture de « 25 ans après, « Papa » me cherchait toujours »

Jésus, plus puissant que les démons

tanzania

Tanzania—Voilà un rapport du missionnaire Ron Hansen qui oeuvre en Afrique depuis plusieurs années. Actuellement, il travaille à  la construction de puits dans les villages qui en sont dépourvus. Il arrive que les femmes de beaucoup de villages soient obligées de marcher de longues distances pour chercher de l’eau pour leurs familles.

Mwanambaya est un petit village musulman au sud de Dar es Salam, en Tanzanie. Le pasteur Aniset est arrivé dans ce village en Décembre 2005. Le peuple avait décidé qu’il ne voulait  pas d’église dans sa communauté et de ne pas vendre de propriété dans ce but.

Cependant un homme vendit un terrain au pasteur. Il fut chassé du village.

L’église commença à prier et chercher Dieu pour savoir comment atteindre le village et Dieu ouvrit des portes par le miraculeux : Continuer la lecture de « Jésus, plus puissant que les démons »

DES ATHÉES COMMENCENT À FAIRE MARCHE ARRIÈRE

 
La plupart d’entre nous ont été au moins une fois assaillis par les ‘nouveaux athées.’ Les personnalités telles que Richard Dawkins et son livre : « Pour en finir avec Dieu » et Christopher Hitchens et son ouvrage au titre provocateur : « Dieu n’est pas grand » attaquent l’idée de Dieu et se moquent de ceux qui croient en Lui.

Nous avons entendu des militants comme Polly Toynbee, la présidente de l’association des Humanistes de Grande Bretagne affirmer : « De tous les éléments du Christianisme, celui qui est le plus repoussant est l’idée que le Christ a pris nos péchés sur lui-même et a sacrifié son corps en agonie pour sauver nos âmes. Est-ce que nous lui avons demandé de faire cela ? » demanda-t-elle dans un article qui attaquait « Les Chroniques de Narnia » de C.S. Lewis. Continuer la lecture de « DES ATHÉES COMMENCENT À FAIRE MARCHE ARRIÈRE »

« Vous me dégoûtez ! »

Pourquoi Certaines Eglises Sont-Elles Bénies ?

Vers 1970, le Pasteur Daniel Betzer ressentit un appel à commencer une église dans une ville de l’Ohio (USA). Mais à un moment donné, le poids financier de cette œuvre menaçait de noyer le jeune homme de Dieu.

« C’est particulier, quand vous allez quelque part où il n’y a rien et que vous voyez Dieu créer quelque chose » dit-il. Avec son épouse Darlène, il démarra l’église dans le sous-sol de leur maison. Le premier dimanche, 16 personnes assistaient au culte. Huit sont restées et après une année, ils étaient environ 90 âmes.

Ils finirent même par acheter un petit bâtiment. « Tout allait bien, à part le fait que nous ne pouvions pas payer nos factures » se souvient le pasteur Betzer. « Nous avions un budget total de $ 16’000 (environ 12’500 €), y compris le salaire du pasteur. A la fin de l’année, nous avions un déficit de 5 à 7’000 dollars (env. 4 à 5’500 €). »

Le stress le rongeait. « Je prêchais sur la dîme. Les gens disaient : ‘Amen, pasteur’ mais la semaine suivante, le problème était le même. La situation semblait sans espoir. Continuer la lecture de « « Vous me dégoûtez ! » »

L’héritage d’un homme mourant

D.L. Moody était un évangéliste qui secouait le monde il y a plus de 100 ans de cela. Mais avant de prêcher, c’était un homme d’affaires en  constante effervescence.

Il  avait dans l’idée de devenir riche.  Cependant il aimait le Seigneur et  avait  commencé une école du dimanche dans un quartier pauvre de Chicago. Il touchait souvent entre 1000 et 1500 enfants par semaine.

Mais  on ne voyait pas beaucoup de changement dans la vie de ces enfants. Une classe de jeunes filles se montrait  particulièrement  difficile et désobéissante.
Cette semaine-là, le moniteur de cette classe, pâle et un peu découragé, vint voir Moody et lui dit : « J’ai eu une autre hémorragie aux  poumons, le docteur dit que je ne peux pas vivre près du lac du Michigan, alors je vais à New York—pour mourir je suppose. » Continuer la lecture de « L’héritage d’un homme mourant »

Le réveil qui a secoué la terre

source de photo : wikipedia commons (nov. 1908)

Il y a un peu plus de 100 ans, en 1906, un journaliste du Times de Los Angeles (USA) se rendit à une réunion dans la rue Azusa. Elle commençait à faire parler -beaucoup- dans la ville et au-delà. Il ne fut pas du tout impressionné de ce qu’il vit dans ce soir-la.

Il décrivit pour ses lecteurs des gens qui : « …lisaient des énoncés bizarres et racontaient un credo que nul mortel saine d’esprit puisse comprendre. Les adeptes de cette doctrine bizarre pratiquent les rites les plus fanatiques, prêchent les théories les plus effrénées et s’excitent dans un état de folie. »

Ces gens prétendaient être baptisés du Saint Esprit et avoir le don de parler en langues ! Le journaliste insistait sur le sensationnel (avec sans doute des exagérations et un point de vue qui n’était pas impartial) sans voir le fond. Avec un peu de perspicacité spirituelle, il aurait vu des gens ayant un amour intense pour le Seigneur Jésus et un désir de le connaître dans toute sa puissance. Continuer la lecture de « Le réveil qui a secoué la terre »

La route que je n’ai pas prise

 

Il y a eu un matin où j’ai eu conscience que deux routes s’offraient à moi, c’était au moment de choisir dans quelle université faire mes études !  … et j’ai souvent pensé que ma vie aurait été toute autre si j’avais choisi l’AUTRE université ! Je n’aurais probablement PAS rencontré le Seigneur !

Dans le système français, il est normal d’aller à l’université dont dépend le domicile des parents; mes parents habitaient Nîmes, et il était normal de m’inscrire à l’université de Montpellier, avec tous les autres jeunes de Nîmes ! Mais étant enfant unique, on ne m’a pas attribué de chambre en cité universitaire, par contre il n’y avait aucun problème pour que je suive les cours à Montpellier, à condition de ma débrouiller sur la question du logement : je pouvais faire le trajet en train depuis Nîmes ( 50 km) puisque mes parents n’avaient pas les moyens de me louer une chambre dans le privé. A Nîmes, notre logement était petit et je dormais dans le séjour/ salle à manger … Continuer la lecture de « La route que je n’ai pas prise »

Saïd Oujibou: Trouver le paradis

Philippe André

Garçon violent de banlieue, ce jeune a fait une rencontre qui bouleversa sa vie.

D’origine nord-africaine et de culture arabo-musulmane, la famille Oujibou émigre en France au début des années 1970, alors que Saïd n’a que trois ans. Très tôt, il s’intéresse à l’Islam, la religion de ses pères.

La famille est pratiquante et inculque au jeune garçon les préceptes que tout bon musulman doit connaître.

Bien vite, la conscience spirituelle de Saïd le travaille : « Très, très jeune, des questions émergent, notamment au sujet du salut. L’Islam aussi parle du paradis et de l’enfer.

« Il fallait absolument que je trouve par quel moyen fiable je pouvais aller au paradis. Mes parents, pour avoir un espoir de gagner le paradis, essayaient quant à eux d’accumuler un maximum de bons points spirituels. » Continuer la lecture de « Saïd Oujibou: Trouver le paradis »

Ma meilleure décision—Jason Robinson, rugbyman

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Il semble que l’ancien héros anglais du rugby, Jason Robinson, ait expérimenté toute une longue vie d’émotions pendant ses courte vie.

Par exemple, il a marqué un essai contre l’Australie dans la finale de la Coupe du Monde en 2003 que l’Angleterre a gagne la coupe. Puis il a célébré la victoire avec son équipe dans un des matches les plus palpitants de l’histoire du rugby. Lui et ses partenaires ont pris le temps de déguster une gorgée de thé avec la reine Élisabeth, et ensuite passer dire un petit « bonjour » à Tony Blair, qui etait le premier ministre a ce moment-la.

Ajoutez à cela le plus grand contrat du rugby anglais, un million de livres sur quatre ans, qu’il a signé avec son équipe, les Sharks (Requins) de Sale,  a l’époque et vous avez le commencement de quelques sourires, pas vrai ? Continuer la lecture de « Ma meilleure décision—Jason Robinson, rugbyman »

« En quelque secondes, le Seigneur a effacé des années de misère »

Parfois Claude Huot sort dans la rue pour inviter des gens aux réunions spéciales. Un ami remarquait comment cet homme, dans la cinquantaine, s’animait quand il parlait de Jésus Christ avec des jeunes et des ados dans la rue.

Mais quand vous connaissez son histoire, sa passion ne vous étonne pas …

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Du haut de ses 15 ans, Claude les regardait dans la rue, ces hippies. Ils se fichaient du monde des adultes et avaient créé une contre-culture à eux-mêmes. Cette confrérie des jeunes dans les années 60 et au début des années 70 ne faisait plus confiance à                         « l’établissement ».
« Je voyais les hippies dans la rue–cheveux longs, sac à dos, concert de pop musique—et je ne rêvais qu’à cela » dit-il.

Claude était l’aîné de cinq enfants de la famille Huot de Montbéliard et il brûlait de frustration à cause des conflits constants avec son père. « Quand j’avais 15, 16 ans je voulais déjà vivre dans la rue parce que je trouvais la vie à la maison tellement difficile avec un père qui ne pensait qu’à travailler. »

C’était la mère qui devait s’occuper des enfants, pour la plupart, et les jeunes en ont bien profité. Mais quand papa revenait à la maison et maman lui disait les bêtises qu’ils avaient faites …
« C’était des coups qui pleuvaient. Pendant des années ma seule relation avec mon père étaient des relations conflictuelles, voir même de violence parce que régulièrement il débouclait son ceinturon pour me prouver son amour paternel. » Continuer la lecture de « « En quelque secondes, le Seigneur a effacé des années de misère » »