Bob est un ami qui ne boit jamais de caf. Il boit du thé. C’est un gars super malgré tout, et il fait souvent du café pour notre équipe qui travaille dans ce ministère.
Ça a d’ailleurs posé un problème pendant un temps. Normalement, il faut mettre six cuillères de café dans cette cafetière, mais mon ami avait mal compris et pensait qu’il en fallait dix. Et, comme il ne goûtait jamais le produit fini, le résultat était fort.
Fort !
Je me versais une tasse, ajoutais un sucre, buvais une gorgée… et manquais tomber à genoux. C’était costaud. Pourtant, je suis habitué au café européen, mais là, c’était plutôt un café martien. « Fort » ne lui rend pas justice.
Mon ami a fini par apprendre que six cuillères étaient suffisantes et son café est maintenant officiellement buvable.
Goûter, c’est comprendre
Il faut goûter quelque chose pour la connaître.
C’était la même chose pour Jésus. Comment Dieu aurait-il pu comprendre « froid » s’Il n’avait jamais eu froid ? Comment pouvait-Il comprendre « la souffrance » s’Il n’avait jamais été blessé ? En Jésus, Il a compris pleinement parce qu’Il est devenu comme nous, pour que nous puissions devenir comme Lui. Continuer la lecture de « Le café qui a failli me tuer »