Deux horribles accidents évités


Un de mes amis, Christophe, fait un travail dont tous les petits garçons rêvent : il conduit des trains dans la très belle région de France qu’est l’Alsace.

Je dis « travail de rêve, » mais je ne suis pas sûr que c’est toujours ce dont rêvent les petits garçons, de nos jours. D’après ce que je sais de mes petits-enfants, ils rêvent probablement de tuer des monstres à trois têtes dans des châteaux de l’espace. C’est un bon travail aussi, si tu arrives à le décrocher.

Une nuit, alors que Christophe conduisait son train à travers la campagne, les phares ont illuminé quelque chose sur les rails, devant. Il a réagi très vite et arrêté son monstre lancé à pleine vitesse juste quelques mètres avant qu’il n’écrase un jeune homme désespéré qui se tenait sur les rails.

Cet homme avait prévu de se suicider et mon ami devait être son bourreau involontaire. Mais Christophe était éveillé, à son poste, et sa réaction rapide a sauvé la vie d’un homme. Nous entendons parler de conducteurs détruits par la drogue et l’alcool, qui causent des accidents au cours desquels de nombreuses personnes meurent.

Mais un homme doit sa vie à Christophe, qui était alerte et faisait de son mieux.

                                    Nous devons notre vie

Quelqu’un d’autre nous a sauvé d’un accident ferroviaire éternel.

« Quant à vous, vous étiez morts à cause de vos fautes et de vos péchés, que vous pratiquiez autrefois conformément à la façon de vivre de ce monde, conformément au prince de la puissance de l’air, de l’esprit qui est actuellement à l’œuvre parmi les hommes rebelles. Nous tous aussi, nous étions de leur nombre : notre conduite était dictée par les désirs de notre nature propre, puisque nous accomplissions les volontés de la nature humaine et de nos pensées, et nous étions, par notre condition même, destinés à la colère, tout comme les autres. » (Ephésiens 2)

Ce train du jugement de Dieu se précipitait vers nous. Nous nous tenions sur les rails, coupables et condamnés, attendant l’exécution de la sentence. Le verdict signifiait une mort éternelle, une horrible conscience de la séparation d’avec Dieu, originellement prévue pour le diable. Mais tous ceux qui ne veulent pas de la seigneurie de Dieu dans leur vie le rejoindront.

« Mais Dieu est riche en compassion. Continuer la lecture de « Deux horribles accidents évités »