Ca va mal en France (Pot-Pourri…)

Teenage girl thinking using computerScott Hancock – Fotolia

C’est vrai. Nous avons de grands problèmes.

Notre population est de 65 millions d’habitants, mais la moitié sont retraités. On n’a que 33 millions pour faire le travail.

Dix-huit millions sont à l’école. Il ne reste que 15 millions pour faire le travail. De ces 15 millions, 10 millions travaillent pour le gouvernement national, alors il ne reste que cinq millions pour faire le travail.

Un demi-million est militaire, alors il ne reste que quatre millions et demi pour faire le travail.

De ce nombre trois millions et demi travaillent pour les gouvernements régionaux et locaux, ce qui laisse un million pour faire le travail.

A un moment donné il y a 700,000 personnes dans les hôpitaux et 298,998 en prison.

Il ne reste que deux personnes pour faire le travail–toi et moi.

Et te voilà, en train de lire des blagues !

(Internet. Note : les chiffres sont approximatifs … et inventés)

Vendre Le Fils pour 25 centimes ?

Il y a plusieurs années de cela, un homme est arrivé dans une ville pour oeuvrer comme pasteur d’une des assemblées.

Quelques semaines plus tard il prit l’autobus près de chez lui pour aller au centre-ville. En s’asseyant, il se rendit compte que le conducteur lui avait rendu vingt cinq centimes de trop en monnaie. Il se demanda ce qu’il allait faire. Continuer la lecture de « Ca va mal en France (Pot-Pourri…) »

Le kamikaze se détend

David Porter

C’est toi la main de Dieu qui touche des blessés. C’est toi sa voix qui murmure sa compassion.

Dans le temps, j’étais un peu kamikaze pour certaines choses. Les enterrements par exemple. Je ne les aimais pas et je proclamais : « Quand je mourrai, mettez moi tout simplement dans une boîte et enterrez-moi. Je serai avec le Seigneur, alors ça m’est égal. »

Je voulais que personne, par exemple, me voyant dans mon cercueil ne dise : « Il a l’air tout naturel, tu ne crois pas ? » Si vous avez l’air naturel quand vous êtes mort vous étiez assez laid quand vous étiez vivant.
Les enterrements sont souvent de lourdes expériences émotionnelles et je ne voyais pas une raison pour soumettre ma famille à cela.

Heureusement pour les pompes funèbres, j’ai changé d’avis. J’ai enfin réalisé que les services d’inhumation ne sont pas pour les morts. Ils sont pour les vivants. Et bien que je ne sois pas très à l’aise avec leurs puissantes démonstrations d’émotion, je sais maintenant au moins pourquoi nous le faisons. Continuer la lecture de « Le kamikaze se détend »