Cette génération n’est pas en pleine dégringolade !

Le fait d’additionner les années semble modifier le cerveau. Je ne sais pas si ça l’améliore où le fait régresser, mais il est certain que les années le rendent plus confus. Voici un exemple d’une chose qui me laisse perplexe :

Dans les années 50, le chanteur Pat Boone chantait : « Un jour comme aujourd’hui, nous passons le temps à écrire des lettres d’amour dans le sable.»

Et puis, quand j’étais adolescent, les Marvellettes étaient tellement en colère contre leur petit ami qui ne leur avait pas écrit qu’elles chantaient au facteur :

« Vous êtes si souvent passé devant moi
Vous avez vu les larmes couler
Vous ne vous êtes jamais arrêter
Pour me donner une lettre qui apaiserais mon chagrin. »

Ma question est la suivante : Comment font les jeunes gens d’aujourd’hui pour exprimer leur amour éternel ? Plus personne n’écrit de lettre !

Si tu me réponds qu’ils tweetent, qu’ils envoient des sms ou des e-mails, il y a un problème : comment peut-on déclarer sa dévotion éternelle en moins de 150 caractères ? Dis-tu des choses stupides sur Snapchat en pensant qu’elles sont romantiques ? Tu veux vraiment que tout le monde voit ça ? Souviens-toi que ta maman peut y jeter un œil à tout moment.

Et pourtant, c’est bien là que nous en sommes.

Est-ce que les hommes des cavernes écrivaient des lettres ?

Mais attends un peu ! Comment les hommes des cavernes exprimaient-ils leur amour éternel ? Ils n’écrivaient pas de lettre. Peut-être gravaient-ils des mots doux sur le mur de leur caverne. Et les indiens d’Amérique, il y a deux mille ans ? Je suppose que de nombreuses personnes ont finalement trouvé un moyen d’être fleur bleue sans pour autant écrire de lettre.

Il y a plus d’une façon de séduire une fille.

Ce qui m’amène à une autre idée. Peut-être que ce qui m’étonne le plus dans les églises d’aujourd’hui n’est pas une question de bien et de mal. Il s’agit juste d’une autre génération, avec une autre façon de s’exprimer. Et si certaines choses que je vois ne sont pas très reluisantes, ma génération avait certainement aussi sa part de choses comme ça.

Je dois avouer avoir dit : « La moitié des membres des églises évangéliques seront sourds dans cinq ans, à cause du volume de la sono. » J’ai plaisanté à propos des chants qui répétaient indéfiniment la même phrase.

A notre époque, quand une phrase musicale était continuellement répétée, c’était parce que l’aiguille du phonographe était coincée à un endroit. Je suppose que certains conducteurs de chant ont besoin d’être décoincés.

Il est aussi possible que j’ai émis quelques plaintes au sujet des salles si sombres que l’on n’arrive même pas à trouver une place, des chants qui étaient pris dans une tonalité telle que personne sauf un professionnel ne pouvait les chanter et il est même possible que j’ai encore ajouter d’autres critiques (remarque : rien de tout cela n’est vrai dans mon église, au cas où mes pasteurs liraient ceci).

Je me suis aussi plaint du contenu ultra-allégé de certains chants… jusqu’à ce que je commence à regarder de plus près certains des vieux cantiques et que je réalise que les choses n’étaient pas forcément mieux au bon vieux temps. Imagine ma surprise quand j’ai réalisé que le vieux cantique du Sud que les gens aimaient tellement chanter, Souvenirs Précieux, ne mentionnait même pas Dieu !

Dieu devait être dans le verset qui a été laissé de côté.

Mais tu sais quoi ? J’ai décidé de faire avec ce que je n’aimais pas particulièrement, si ces chants peuvent toucher mes enfants et petits-enfants. Ils ne sont peut-être pas émus aux larmes par « Mon Jésus, je T’aime, je Te sais à moi… »

Mais chacun de nous peut être touché en chantant :

« Ce nom est si merveilleux
Ce nom est si merveilleux,
Le nom de Jésus Christ mon roi
Ce nom est si merveilleux
Sa beauté est sans pareille
Ce nom est si merveilleux
Le nom de Jésus. »

J’ai entendu un message un dimanche matin que je considère comme prophétique. Le pasteur a parlé de la génération de Caleb. Le nom de Caleb veut dire « chien », mais pas dans un sens péjoratif. Il peut aussi être traduit par fidèle, dévoué, entier, audacieux, brave.

Il était un chien de guerre, un chien féroce pour ceux qui se tenaient entre lui et que ce Dieu lui avait promis.

Caleb avait très envie d’aller combattre les géants quand Moïse a conduit le peuple aux portes du Pays Promis. Mais tout le monde, à l’exception de son copain Josué et de Moïse, tremblait devant ces monstres. Cette génération s’est détournée du Pays Promis et a erré pendant 40 ans dans le désert, jusqu’à ce que les couards soient tous morts et qu’une nouvelle génération de guerriers ait grandi. Caleb et Josué étaient devenus vieux, mais ils attendaient toujours de pouvoir se battre.

Le chien vaillant et le lion

Un des premiers héros de cette génération du désert était le petit frère de Caleb, Othniel. Son nom signifie « Lion de Dieu. » Sais-tu qui a été le mentor de ce lion ? Le « chien de guerre », Caleb.

Le pasteur a dit qu’il avait l’impression que la génération du Millénaire (ceux qui ont eviron entre 21 et 38 ans) allaient être les instruments d’une grande œuvre de Dieu, mais il a mis en garde les Baby Boomers (les vieux comme moi) : « Certains d’entre vous ont déposé leur témoin. Certains d’entre vous l’ont lâché. Vous devez le reprendre ! »

Il a mis au défi ces Baby Boomers, qui ont vu un grand mouvement de Dieu, d’aider la génération du millénaire, qui a entendu ce que Dieu a fait dans le passé mais n’en a pas été témoin. Caleb avait vu les miracles. Il a aidé « le Lion de Dieu » a vivre le merveilleux de Dieu dans sa génération et à abattre une cité pleine de géants.

Et le jeune homme l’a fait.

Peut-être que Dieu ne nous a pas appelés à montrer à la nouvelle génération comment mettre les points sur les « i » et les barres sur les « t ». Nous n’aimerons peut-être jamais leur musique (quoique, quand on diminue les basses et la batterie et qu’on éteint un peu les spots, finalement j’en aime une grande partie). Mais Il nous appelle à aimer la génération qui nous suit, à leur montrer comment prier, à leur montrer comment marcher dans la foi, remplis du Saint-Esprit. Dieu veut que nous les aidions à apprendre comment abattre les forteresses des géants.

Parce qu’il y a beaucoup de forteresses à abattre. Il y a un héritage à revendiquer !


Hmmm…

« J’en suis venu à comprendre que la définition de Dieu du mot « promotion », est en réalité un pas réalisé vers ton appel. Ne laisse jamais personne t’offrir une promotion qui t’éloigne de ton appel. Tous les trompettistes n’ont pas les capacités nécessaires pour diriger un orchestre. Si tu peux le faire, alors fais-le. Mais si tu ne peux pas, souffle dans ta trompette avec plaisir ! » (Dieu est avec toi tous les jours de Max Lucado)

Tes pensées ressemblent-elles à des chiens… ou à des chats ?

Espérer et se réjouir dans la souffrance (Lamentations, chapitre 3 à partir du verset 42).

Les chiens sont souvent des créatures sociables, promptes à te laver le visage à longs coups de langue baveux. Certains pensent qu’il s’agit de bisous mais c’est probablement plutôt une façon de te baver dessus sans être puni. Quand tu appelles un chien, tu as intérêt à être prêt : la cavalerie arrive !

Les chats, d’un autre côté, préfèrent choisir le moment où ils vont répondre à une sollicitation. Le « viens minou, minou ! » ne fonctionne que si tu as un bol de sa nourriture préférée devant les pieds. Mais si la seule récompense pour ton ami félin c’est ton toi, rempli d’amour, il risque fort de t’ignorer.

Quand il entend « viens petit minou », il semble dire : « Je n’entends rien. Je ne vois rien. »

Si tu insistes : « Viens minou, minou ! » ton appel n’est salué que par un détachement étudié. « VIENS MINOU ! »

Et, au bout du compte : « Viens ici, stupide chat ! »

Pensées de chien, pensées de chat

Mes pensées ressemblent plus souvent à des chats qu’à des chiens. Au lieu de courir vers moi avec leur langue pendante et un sourire canin plaqué sur le visage, elles regardent dans ma direction comme si j’étais un idiot, puis elles s’en vont là où leur cœur les conduit.

Une des clés de la joie dans les moments difficiles, pourtant, c’est notre façon de penser. Si mes pensées se baladent comme des chats en faisant ce qu’elles veulent, il est peu probable que je sois victorieux. Écoute un peu ces paroles d’un gars qui savait comment contrôler sa façon de penser :

« Sans cesse, je m’en souviens, et j’en suis abattu. Mais voici la pensée que je me rappelle à moi-même, la raison pour laquelle j’aurai de l’espérance:… » (Lamentation 3:20, 21, Semeur)

Voyons un peu ce qu’a fait cet auteur (probablement Jérémie) : il était dans une situation horrible, son pays était ravagé par des ennemis. Il avait fidèlement rapporté la parole du Seigneur. Nombre de ses concitoyens le méprisait pour cela et travaillaient à sa perte.

J’aime cette phrase : « je me rappelle. » C’est comme si une pensée n’était pas présente et que ce gars l’appelait. La joie est juste là, attendant qu’on l’appelle. La joie nous saute dessus quand nous nous rappelons de certaines vérités.

« Viens foi ! Venez souvenirs de la fidélité de Dieu dans le passé. Venez promesses faites par Dieu dans Sa Parole. Viens connaissance de la nature de Dieu. Allez-vous-en doute, peur, égoïsme, auto-apitoiement. »

La joie est un sous-produit de la foi dans le Seigneur. Fais-Lui confiance et la joie viens te lécher la figure.

Se rappeler à quoi ressemble Dieu ?

« Non, les bontés de l’Éternel ne sont pas à leur terme

et ses tendresses ne sont pas épuisées.

Chaque matin, elles se renouvellent.

Oui, ta fidélité est grande !

J’ai dit : L’Éternel est mon bien,

c’est pourquoi je compte sur lui.

L’Éternel est plein de bonté pour ceux qui ont confiance en lui,

pour ceux qui se tournent vers lui. » (Lamentations 3:22-25 NIV)

Si tu te rappelles constamment ces vérités, la foi grandit, puis l’espérance et la joie germent à partir de ta foi.

Quelles pensées appelles-tu ?

Quel genre de pensées et de souvenirs es-tu en train d’appeler ? L’amour de Dieu et sa fidélité ou bien ta faiblesse ? L’impression que cette situation est sans issue ou la puissance et le secours de Dieu ?

Allons, David ! Te souviens-tu de tes échecs ou des temps où Dieu t’a aidé à gagner ? Te représentes-tu sans cesse la défaite et ce qui pourrait arriver de terrible ou les promesses de Dieu remplissent-elles tes pensées ?

 Essayes-tu de mériter les bénédictions de Dieu ou te repens-tu de tes échecs en plaçant ton espérance dans Son pardon et en attendant que Dieu œuvre pour toi ?

Que mets-tu dans tes pensées ?

Quand on souffre, il est facile de se concentrer sur la douleur. Quand celui qui rugit comme un lion hurle, il est difficile de ne pas laisser ses hurlements résonner dans nos pensées.

 Mais nous pouvons rappeler des choses à notre esprit. Rappelons la foi ! Rappelons les souvenirs de sa fidélité pour nous. Rappelons notre connaissance de qui Il est, pas ce que Satan dit qu’Il est.  Confions-nous en Jésus. Même dans les temps difficiles. Surtout dans les temps difficiles.

« Car le Seigneur ne le rejettera pas pour toujours.

Mais s’il afflige, il aura aussi compassion selon son grand amour.

Ce n’est pas par plaisir qu’il humilie et qu’il afflige les humains. »

Armés de ces vérités, nous savons que :

« Il est bon d’attendre en silence la délivrance que l’Éternel opérera… » (3:35, 26)

« Attendre. » Nous n’aimons pas ce mot, n’est-ce pas ? Parfois, nous attendons quelques heures. Parfois nous attendons des années. Parfois notre prière est exaucée pendant la vie de nos enfants et pas pendant la nôtre. Mais nous attendons dans la confiance en sachant qu’Il est aux commandes.

Dans les moments difficiles, il est aussi important de regarder avec attention notre vie et de vérifier si nous n’avons pas une part de responsabilité dans ce qui nous arrive. Si la réponse est « oui », nous devons nous repentir et changer.

« Considérons notre conduite et examinons-la, puis revenons à l’Éternel.

Tournons notre cœur, élevons nos mains vers Dieu qui est au ciel.

Nous, nous avons péché et nous nous sommes révoltés. Tu ne nous as pas pardonné… »

Toutes les épreuves ne sont pas la conséquence de notre rébellion ou de notre péché, mais certaines le sont. Avons-nous été infidèles dans notre façon de gérer notre argent ? Sommes-nous en guerre contre quelqu’un ? Avons-nous manqué à nos promesses ? Avons-nous permis le péché dans notre vie ?

Repens-toi et Il pardonnera. Mais si nous persistons à suivre une voie qui n’est pas la Sienne, nous récoltons ce que nous avons semé.

Les gens chats… et les gens chiens

Dieu souligne à quel point il est important de venir quand Il nous appelle. Soyons comme des chiens et non comme des chats quand il s’agit de répondre à notre Père.

« Écoutez mes avertissements, voici: je répandrai sur vous mon Esprit et je vous ferai connaître mes paroles.

J’ai appelé et vous m’avez résisté, j’ai tendu la main et personne n’y a prêté attention.

Vous avez rejeté tous mes conseils et vous n’avez pas voulu de mes avertissements.

C’est pourquoi, lorsque le malheur fondra sur vous, je rirai, quand la terreur vous saisira, je me moquerai.

Quand l’épouvante, comme une tempête, viendra sur vous, que le malheur fondra sur vous comme un ouragan, et que la détresse et l’angoisse vous assailliront,

alors ils m’appelleront, mais je ne répondrai pas. Ils me chercheront, mais ne me trouveront pas… »

(Proverbes 28: 23-29) ble 1 Light Acc

INVITATION A UN CONCERT GRATUIT

Quand j’étais adolescent, certaines combinaisons de lettres étaient magiques. On disait, « WNOE », « KEEL » ou « KAAY » et on tendait tous l’oreille. C’étaient les sigles de stations de radio très populaires que l’on pouvait capter dans notre région. Tous les jeunes « dans le coup » les écoutaient. (« Dans le coup », c’est ce que nous nous imaginions. La plupart d’entre nous étions sans doute plutôt « hors du coup. » Et le « coup » de quoi, de toute façon?)

Je dois admettre que l’une de mes plus grandes joies dans la vie, c’est la musique. Parfois, je chantonne pour Phyllis : « Le soleil brille pour moi, même les jours de pluie… C’est grâce à toi, ma chérie. » (Elle apprécie mes chansons surtout au moment où j’arrête. Le silence qui suit est réconfortant.)

Je ne pourrais jouer d’aucun instrument, même si ma vie en dépendait, mais j’écoute de tout depuis le gospel jusqu’à Vivaldi en passant par tout ce qui se trouve au milieu. Vestal Goodman ou Luciano Pavarotti, Diana Ross ou André Rieu, tout me va. (Mais si tu mets Madonna ou Katy Perry, je vais certainement m’enfuir).

Mais tu sais qui est mon chanteur favori ? Dieu ! Tu ne savais même pas qu’Il avait sorti un album, pas vrai ? Il a fait quelques concerts prodigieux. Et ils sont gratuits !

Dieu chante

Écoute un peu (pour ceux qui me connaissent, ce n’est probablement pas la première fois que vous entendez ce verset) :

« L’Éternel, ton Dieu, au milieu de toi, est puissant ; il sauvera ; il se réjouira avec joie à ton sujet : il se reposera dans son amour, il s’égayera en toi avec chant de triomphe » (Sophonie 3:17, Darby)

Et ceci :

« Tu es mon asile ; tu me gardes de la détresse, tu m’entoures des chants de triomphe de la délivrance. Sélah » (Psaumes 32:7, Darby)

D’une certaine façon, nous avons l’impression que chanter n’est pas vraiment digne de Dieu, pas vrai ? C’est vrai que je ne peux pas imaginer Dieu chanter à « The voice » ou « la France a un incroyable talent. »

Mais Dieu nous aime tellement qu’Il se soucie peu de la dignité. Ne L’as-tu jamais entendu chanter dans une tempête, une cascade ou dans la musique puissante et silencieuse d’une nuit claire à la montagne, avec la lune et les étoiles en guise de micro ?

Tu pourrais même L’entendre au milieu de ta souffrance si tu faisais silence et écoutait. Il chante beaucoup, mais notre radio est rarement réglée sur la bonne fréquence. Notre douleur cause des interférences. Les questions et les doutes couvrent Sa voix. Mais Il chante quand même. Nous ne pouvons pas L’obliger à se taire.

Sa voix résonne avec la pureté d’un chanteur d’opéra, l’émotion d’un chanteur de folk et l’entrain d’un groupe de jazz. Ne peux-tu pas l’entendre ?

Si je suis en train de pleurer, de bouder, de douter ou de Lui hurler dessus, mes émotions empêchent mes oreilles d’entendre Sa voix. Un prophète dans la Bible a eu ce problème. Il cherchait la voix de Dieu dans un tremblement de Terre, dans le tonnerre et dans un vent violent, mais le Seigneur n’était pas là.

Et puis, une voix douce et légère a frayé son chemin à travers Sa dépression. Dieu a touché son âme et l’a guéri.

Les chansons de Dieu peuvent aussi guérir ton passé. Personne ne peut changer ce qui s’est passé, mais nous pouvons changer notre compréhension de ce qui s’est passé. Sa voix magnifique donne un sens et de la beauté même aux événements les plus douloureux qui nous ont frappés.

Comment peux-tu entendre Dieu chanter ?

Nous devons avoir envie de l’entendre. Si je veux écouter une station de radio, je règle ma radio en fonction. Le problème n’est pas de savoir « si » Dieu chante. Il chante comme un rossignol. Il suffit des bons réglages.

La Bible dit que, si nous voulons entendre Sa voix, nous ne devons pas endurcir notre cœur. Rends ton cœur sensible et ouvert à Dieu.

Se couper des bruits de la vie quotidienne nous y aide. Parfois, il faut même un jour ou deux à l’écart de la cacophonie de la vie quotidienne. Un jour, j’ai essayé de chanter à côté d’une vieille dame qui chantait faux. Au final, nous chantions faux tous les deux. Pour entendre la musique qui restaure l’âme, celle du Saint-Esprit, nous avons souvent besoin de nous éloigner un peu. Prends ta Bible avec toi. Tu chanteras un peu pour Lui.

Apaise ton esprit devant le Seigneur. Si tu n’y arrives pas, demande-Lui de le faire pour toi. « N’ai-je pas soumis et fait taire mon âme, comme un enfant sevré auprès de sa mère ? Mon âme est en moi comme l’enfant sevré. Israël, attends-toi à l’Éternel, dès maintenant et à toujours ! » (Psaumes 131:2,3).

Tu souffres peut-être depuis longtemps. Jésus est venu pour ouvrir les oreilles des sourds – que ce soit les oreilles physiques ou spirituelles. Coupe-toi un peu de la routine, écoute. La voix que tu entendras apporte la guérison.

Il veut chanter pour toi.